mardi 30 avril 2013

Rendre les canaux de communication complémentaires, une priorité pour 2013 ?



Rendre les canaux de communication complémentaires, une priorité pour 2013 ?

Par Kathleen Comte 29 avril 2013  Laisser un commentaire
mail
S'ils veulent continuer de séduire les consommateurs, les marketeurs ne devront plus simplement cumuler les moyens de communications, mais les entremêler.
Si les réseaux sociaux sont devenus l'un des moyens privilégiés pour les entreprises de communiquer avec les consommateurs, il ne faudrait toutefois pas négliger les autres canaux plus anciens. Ainsi, si l'on en croit l'étude Email Marketing Benchmarks de Silverpop – fournisseur de technologies marketing numérique – l'objectif des marketeurs pour cette année 2013 sera d'aller plus loin dans cet aspect social du marketing et utiliser les différents canaux de communication de manière complémentaire. En d'autres termes, il serait nécessaire pour les marketeurs de trouver des moyens de tisser un lien entre chaque canal de diffusion d'information : la recherche, les sites web, les emails, les données, les contenus, le mobile check-in (fait de se localiser avec son mobile) etc.

Savoir s'adapter à l'évolution du social

Ainsi, l'étude part du constat que si le social se rapporte à la conversation, l'email lui se rapporte à la conversion. Coordonner les deux pour qu'ils travaillent ensemble permettrait donc de maximiser les revenus. En 2013, l'étude rappelle la nécessité pour les vendeurs de revoir leur façon d'écrire des emails. En effet, pour que le message est une portée plus longue, il serait nécessaire d'incorporer un ton plus humain dans les mails.. Par exemple, le vendeur peut recommander un produit basé sur les comportements du bénéficiaire et insérer avec parcimonie certains commentaires clients. En ce qui concerne les sites web, si les vendeurs réalisent et publient des études sur leur site, ils devront mettre en valeur celles qui sont les plus populaires en montrant combien de fois elles ont été téléchargées et partagées. Ceci permettrait, selon les auteurs de l'étude, de donner l'impression que le site fait partie d'un écosystème plus grand.

La notion de partage au cœur du nouveau modèle

Enfin, les vendeurs avisés doivent constamment surveiller les moyens facilitant le partage, comme l'intégration de liens sociaux au sein des fichiers PDF et la conception de campagnes construites autour du partage de contenu. D'autres points sont également à améliorer du côté des réseaux sociaux eux-mêmes. Ainsi, l'étude rappelle que de plus en plus d'acheteurs collectent des informations via Facebook, Twitter avant de prendre une décision. Les marketeurs auront donc la nécessité d'appliquer des stratégies SEO (search engine optimization) pour leurs canaux sociaux et leurs contenus afin d'optimiser leurs informations. Grâce à cela, les vendeurs seront également mieux référencés sur le web. Enfin, avec 30 millions de membres inscrits sur Foursquare qui partagent leur localisation via Twitter, les entreprises qui ont pris conscience de l'importance du social utiliseront de plus en plus des réponses automatisées qui répondent à ces localisations afin d'ajouter des points de contact.


lundi 29 avril 2013

Pour les consommateurs américains, le paiement mobile doit être récompensé



Pour les consommateurs américains, le paiement mobile doit être récompensé

Par Pauline Trassard 26 avril 2013  Laisser un commentaire
Paiement mobile
Si 41% des américains sont conscients que leur téléphone peut être utilisé comme moyen de paiement aux comptoirs de vente de détail, seuls 16% d’entre eux l’utilise. Le défi des commerçants réside dans le fait de les convaincre d’y avoir davantage recours.
Un récent rapport de IDC Financial Insights prévoit que la valeur mondiale des paiements de proximité, à la fois via le NFC et les code-barres mobiles, atteindra 296 milliards de dollars d'ici 2017. Accenture a alors mené une étude auprès des consommateurs nord-américains équipés de smartphones, afin de comprendre ce qui les encouragerait à effectuer leurs paiements via le mobile. Car fournir les technologies telles que le NFC et les codes barres mobiles est évidemment important, mais persuader les consommateurs de devenir des utilisateurs réguliers de ces systèmes est une étape critique. Or selon Accenture, pour accroître l'adoption des utilisateurs et non-utilisateurs, les applications de paiement mobile pourraient par exemple intégrer un système de récompense et d'outils à valeur ajoutée.

Récompenser le consommateur pour l’encourager à adopter le paiement mobile

En effet, 45% des interrogés sont encore préoccupés par la sécurité de ces paiements, et 37% du respect de la protection de leurs données personnelles. Il s’avère que récompenser les consommateurs pour les encourager à utiliser les paiements mobiles serait une solution : 60% des répondants affirment qu’ils le feraient plus souvent s’ils recevaient des coupons de promotion instantanés, 46% pour des coupons localisés. De plus, un non-utilisateur sur cinq déclare que les points de fidélité coupons spéciaux ou service client dédié pourrait l'inciter à effectuer des paiements à l'aide de son téléphone. Pour encourager les utilisateurs existants et non-utilisateurs à effectuer des paiements mobiles, les applications mobiles de paiement doivent aussi être soutenues à travers une gamme de différents appareils et réseaux mobiles.

Proposer davantage de prestations pour répondre aux attentes des consommateurs

Car seulement 7% des non-utilisateurs ont déclaré qu'ils seraient prêts à changer de téléphone, d’opérateur ou de banque afin de pouvoir effectuer des paiements mobiles. Environ une personne sur trois a dit qu’elle serait plus susceptible d'utiliser le paiement mobile si elle pouvait utiliser son smartphone comme preuve d'identité, s’assurance ou encore d’accéder à d'autres outils de gestion financière. Sans surprise, l'augmentation du nombre de situations dans lesquelles les consommateurs peuvent effectuer des paiements mobiles pourrait accroître son utilisation. Par exemple, environ la moitié des consommateurs qui ont déjà recours aux paiements mobiles rapportent qu'ils le feraient plus souvent s'ils pouvaient utiliser cette méthode pour payer leur plein d’essence à la pompe, tandis que quelque 46% des non-utilisateurs ont également déclaré que la possibilité de payer l'essence via leur Smartphone pourrait les encourager à essayer les paiements mobiles.

vendredi 26 avril 2013

L’Internet des objets : surfer en toute sécurité



25/04/2013 | David Grout | Internet | Lu 345 fois | aucun commentaire

L’Internet des objets : surfer en toute sécurité

LE CERCLE. Des dispositifs de plus en plus intelligents peuvent désormais communiquer entre eux de manière inédite. Les possibilités offertes par cet "Internet des objets" sont infinies, mais sommes-nous prêts pour cet avenir connecté ?

Nous vivons dans un monde de commodités modernes sophistiquées. L’informatique, intégrée désormais dans tous les aspects de notre vie quotidienne, a permis d'avoir accès à toutes sortes d'informations où et quand nous en avons besoin.
Des dispositifs, de plus en plus intelligents, peuvent désormais communiquer entre eux de manière inédite. Ericsson prédit que, d'ici 2020, il y aura 50 milliards d'appareils connectés à internet. Les possibilités offertes par cet "Internet des objets" sont infinies.
Mais sommes-nous prêts pour cet avenir connecté ? Loin de ne concerner que les PCs, téléphones et tablettes, ce sont désormais d’autres appareils (téléviseurs, voitures, appareils médicaux, distributeurs automatiques, etc.) qui deviennent capables de communiquer.
Voiture intelligente, coût important
Si nous nous projetons dans un monde avec 50 milliards d’appareils connectés en 2020 (pour environ 1 milliard, il y a un an), le concept de voiture connecté ne surprend plus. Le Nevada vient ainsi de démarrer un programme visant à définir les règles à respecter concernant les voitures se pilotant de façon autonome. Imaginez par exemple de pouvoir un jour prendre un taxi où il n'y a pas de chauffeur, juste un ordinateur derrière le volant. Mais qui dit ère de la voiture connectée dit également ère des menaces se propageant à ces nouvelles cibles.
Attention, logiciels malveillants devant
Le Code de la route sera toujours là pour indiquer quand tourner à gauche, s'arrêter ou céder le passage. Malheureusement, il n'y a aucun panneau pour guider les utilisateurs lors de manœuvres sur l'autoroute virtuelle et connectée. Les appareils sans fil, tels que les systèmes d’immobilisation de véhicule contrôlé via le web qui peuvent désactiver à distance une voiture, pourraient également être utilisés à mauvais escient pour désactiver des véhicules appartenant à des propriétaires peu méfiants. Ceux-ci ne sauront pas ce qui se passe jusqu’à temps que le logiciel malveillant frappe. Récemment, au Texas, on a recensé plus de 100 véhicules ayant été désactivés à partir d’un système de désactivation par télécommande. Le système avait été installé par le concessionnaire automobile, mais malicieusement manipulé par un ancien employé mécontent pour désactiver à distance les voitures et faire du tapage en déclenchant leurs klaxons.
Le hacking fait mal
Ce ne sont pas seulement les voitures qui peuvent occasionner des problèmes de sécurité. Imaginez si quelque chose dont vous êtes dépendant pour rester en bonne santé a été piraté par des personnes mal intentionnées. La menace est bien réelle. Comme de plus en plus de technologies numériques sont introduites dans les véhicules, les systèmes de transports et les matériels médicaux, la menace d’attaque par des logiciels malveillants augmente. En 2008, des chercheurs universitaires ont fait la démonstration d’une attaque leur ayant permis d’intercepter des informations médicales provenant de dispositifs cardiaques implantables et de pacemakers, allant jusqu’à les éteindre ou à causer des chocs électriques potentiellement létaux.
Virtuel et physique
Comme nos appareils intègrent de plus en plus de nos données et préférences personnelles, l’opportunité pour les hackers d’utiliser ces informations à des fins malveillantes est très tentante. Non seulement notre sécurité physique pourra être compromise, mais nos identités virtuelles le seront également. Et c’est un risque énorme lorsqu’on sait que le temps moyen nécessaire pour réparer les dommages causés par une usurpation d’identité est estimé à 330 heures.
L’innovation sécurisée
Du fait que nous passons de plus en plus nos vies sur Internet, il n’est pas surprenant que des personnes malveillantes aient déplacé leurs attaques en ligne. Internet est une mine d’argent et d’informations qui s’est avérée irrésistible pour les cyber-escrocs. Nous devons nous améliorer en termes de protection personnelle si nous voulons ralentir, voire endiguer, le succès des cybercriminels. Nous vivons dans un monde moderne de confort incroyable, mais comme la technologie surpasse nos rêves les plus fous, fabricants et consommateurs doivent, de la même façon, être conscients des conséquences qu’il y a à relier nos identités les unes aux autres, afin d’essayer de préserver notre vie privée et notre sécurité personnelle.


lundi 22 avril 2013

[Google] 50 milliards de dollars pour les acquisitions & investissements



[Google] 50 milliards de dollars pour les acquisitions & investissements

Eric Schmidt (président exécutif de Google) a dévoilé qu’ils avaient 50 milliards de dollars en cash et qu’ils allaient servir pour leurs prochaines acquisitions et investissements.
Attendez-vous à entendre de nouvelles annonces d’acquisitions par Google assez fréquemment : en effet, la société a du cash et elle souhaite s’en servir.
Eric Schmidt en a profité pour lancer une pique à Apple en expliquant : « Ce que je pense à propos des sociétés tech qui ont de l’argent : il y a un seuil de cash au delà duquel il faut soit investir, ou soit baisser ses prix » (« What I really think about tech companies and cash is that there is a point where you have enough cash that you need to either start investing that stuff or lowering your prices« ).
Et si Google n’a que la moitié du cash d’Apple, ils considèrent que ses 50 petits milliards de dollars pourraient trouver une meilleure utilisation qu’un simple matelas de billets en cas de coups durs.
google argent [Google] 50 milliards de dollars pour les acquisitions & investissements

L’avenir de Google passe par l’investissement

La société ne souhaite pas capitaliser sur ses succès mais préfère agrandir ses perspectives, bien conscient que le monde de la recherche en ligne n’aura pas grand chose à voir avec ce que nous connaissons aujourd’hui (imaginant déjà un avenir à la Star Trek).
D’où certains paris risqués comme les Google Glass ou les Google Car.
La société a donc annoncée qu’elle mettrait une partie de ses 50 milliards de dollars en usage pour ne pas rater de bonnes opportunités d’investissements.
Il apparaît donc plus clair pourquoi Google n’avait aucun mal à faire une offre d’1 milliard de dollars pour WhatsApp, ce n’est qu’1/50ème de son potentiel budget acquisition.
Et si la société avait impressionnée en sortant 12,5 milliards de dollars pour faire l’acquisition de Motorola Mobility, ce genre de transaction pourrait se reproduire à l’avenir si cela entre dans les actions stratégiques à réaliser pour Google.
 [Google] 50 milliards de dollars pour les acquisitions & investissements

Valentin-Pringuay

Rédacteur & Consultant chez Presse-Citron
Passionné par l'écosystème start-ups français et par les coulisses du web. En charge du Business development de Presse-Citron.




lundi 15 avril 2013

Il ne faut pas céder l’îlot de Tromelin !



Il ne faut pas céder l’îlot de Tromelin !

tromelin
La Constitution prévoit (article 53) que : « Les traités de paix,[…] ceux qui comportent cession, échange ou adjonction de territoire, ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi. » Et pourtant, sans la vigilance d’un député, un morceau du territoire national aurait été partagé sans débat, un accord conclu en 2010 prévoyant le partage de souveraineté de Tromelin avec l’île Maurice.
Tromelin, c’est un minuscule îlot situé à l’est de Madagascar et au nord de la Réunion : inaccessible par la mer, 1 km2 , point culminant
7 m, inhabité sauf par trois employés de la météo qui se relaient tous les deux mois… Pas vraiment le paradis. Il n’y pousse rien, pas d’arbre à cause des cyclones qui ravagent l’île périodiquement. On n’y rencontre que des oiseaux et des tortues qui viennent y pondre.
L’île a été découverte en 1722 par La Diane, navire français de la Compagnie des Indes. Elle porte le nom du chevalier de Tromelin, commandant la frégate La Dauphine qui, en 1776, récupéra sur ce territoire perdu sept femmes et un enfant de huit mois, survivants de 60 esclaves malgaches abandonnés à la suite d’un naufrage. Ils y « vivaient » depuis 15 ans.
Le traité de Paris, en 1814, stipule que la restitution à la France n’exclut que « l’isle de France et ses dépendances nommément Rodrigues et les Séchelles ». La France a toujours considéré que Tromelin lui appartenait sans que ce soit contesté par l’Angleterre. Maurice, depuis 1976, revendique l’îlot, se basant sur la version anglaise du traité de Paris, un peu ambiguë. Remarquons qu’en ces temps bénis, c’était toujours la version française des traités qui faisait foi.
Alors, pourquoi cet intérêt pour cet îlot perdu, sans aucune ressources ? Tromelin génère une zone économique exclusive (ZEE) couvrant environ 280.000 km2 dans des eaux très poissonneuses. Le 7 juin 2010, la France et Maurice signent à Port-Louis un accord de cogestion de l’îlot. L’accord prévoit, surtout, de partager la ZEE attachée à l’île, pour la pêche au thon.
Cet accord, qui avait échappé à la vigilance du Sénat qui l’avait ratifié sans débat, n’a pas échappé à Philippe Folliot, député du Tarn. Il s’est indigné devant ce bradage du territoire national. Il fallait que le Parlement en débatte et qu’une loi soit votée. Victoire pour M. Folliot : le texte a été reprogrammé en procédure régulière.
Oui, mais l’affaire ne se limite pas à Tromelin : l’îlot fait partie des « îles Éparses » regroupant cinq îlots appartenant à la France. Les quatre autres, Glorieuses, Juan de Nova, Europa et Bassas da India – ce dernier ne découvrant qu’à marée basse -, se trouvent dans le canal du Mozambique entre Madagascar et l’Afrique. Ils génèrent aussi une ZEE énorme, couvrant à peu près la moitié du canal du Mozambique, zone très poissonneuse et où l’on parle de pétrole. Ces îlots sont, eux, revendiqués pas Madagascar et, depuis 1973, la France maintient, sur chacun, un groupe de 14 militaires et un gendarme pour affirmer sa souveraineté.
Céder à Maurice pour Tromelin relancerait les revendications de Madagascar sur les autres îles Éparses. Ajoutons Clipperton, dans le Pacifique, revendiqué par le Mexique.
Il ne faut pas céder sur Tromelin.
François Jourdier, le 14 avril 2013

vendredi 12 avril 2013

Dubai Police Adds Lamborghini Aventador To Its Fleet (PHOTOS)


http://www.huffingtonpost.com/2013/04/11/dubai-police-add-lamborghini-aventador_n_3062214.html


Dubai Police Adds Lamborghini Aventador To Its Fleet (PHOTOS)

The Huffington Post  |  By  Posted:   |  Updated: 04/12/2013 9:39 am EDT
Dubai Police Lamborghini
This image released by the Dubai Police, shows a Lamborghini Aventador, in Dubai, United Arab Emirates, Thursday, April 11, 2013. In a city of boundless bling, Dubai police also are in hot pursuit after adding a nearly $550,000 Lamborghini to its fleet. Local media reports Thursday say the Italian-made Lamborghini Aventador is the crown jewel of a wider upgrade in Dubai police wheels. (AP Photo/Dubai Police)
In a move reportedly designed to show "how classy Dubai is," the local police force has added a Lamborghini valued at about $400,000 to its fleet, Al Jazeera reports.
The news outlet notes that Dubai's police made the announcement via Twitter with a picture of the car -- a Lamborghini Aventador -- along with the caption "Latest #Dubai_Police patrols, now at your service."

The addition of the Lamborghini comes just as Dubai's police force has increased its efforts to prevent people from effectively using roads in the United Arab Emirates as if they were racetracks, the Telegraph observes. Drivers in Dubai who are caught going 200 kilometers per hour -- or about 124 mph -- may now face fines and prison time for endangering the lives of others.
The Associated Press -- which values the car at about $550,000 -- reports that theLamborghini will primarily be relegated to tourist areas and may be part of Dubai's efforts to show that it has recovered from its debt crisis.
But a police force representative told The National that the Aventador will "be used on external roads and in locations that require fast, sporty cars.”
The Italian police used to have a Lamborghini Gallardo and the Belgian police have a Porsche 911, the news outlet notes, but there tends to be hesitation about luxury vehicles being used by authorities.
As Geoff Armstrong, a spokesman for the United Kingdom-based Lamborghini Club put it to the National, “Especially in places where the police is tax-payer funded, I can imagine it’s not something that always goes down terribly well."
Correction: a previous version of this story stated that the Italian Carabinieri used to have a Lamborghini Gallardo but it was the Polizia de Stato.
PHOTOS:
Dubai Police Add Lamborghini To Fleet
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Dubai Police / AP
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